Tchaoudjo : La jeunesse se lève pour la paix, la cohésion sociale et la République

Sokodé, le 24 juin 2025
Dans une atmosphère tendue où les discours de division se multiplient sur les réseaux sociaux, la jeunesse engagée de Tchaoudjo a décidé de faire entendre une voix d’apaisement, d’unité et de responsabilité.
Réunie en point de presse ce 24 juin à Sokodé, elle a exprimé avec force son attachement à la paix, à la cohésion sociale et à la Cinquième République, tout en appelant les jeunes du Togo à rejeter la violence et les discours de haine.
Une jeunesse qui choisit l’unité, pas la fracture
« Nous, jeunes de Tchaoudjo, croyons que le Togo a plus besoin de réconciliation que de confrontation. C’est ensemble, unis, que nous bâtirons l’avenir. »
Tel est le message fort délivré par OURO-GANDI Tchagneni, président des jeunes UNIR section Tchaoudjo, au nom de toute une jeunesse consciente de sa responsabilité dans la préservation de l’unité nationale.
Les jeunes ont salué le leadership du Président du Conseil de la République, qu’ils perçoivent comme un artisan de paix et de stabilité. La Cinquième République, à leurs yeux, représente une nouvelle ère de réformes, de dialogue et de gouvernance apaisée.
Face aux discours extrémistes qui prolifèrent en ligne, la jeunesse de Tchaoudjo tire la sonnette d’alarme :
« Nous observons avec inquiétude l’émergence de propos qui divisent, qui attisent la peur et qui poussent à la confrontation. Ce n’est pas ainsi que l’on construit un pays. »
Les jeunes dénoncent les tentatives de manipulation politique, qui exploitent les frustrations sociales pour semer le chaos. Ils appellent leurs pairs à refuser la haine et à cultiver l’esprit de tolérance et de dialogue.
Ce point de presse se veut un acte de mobilisation citoyenne pour la paix durable. Pour la jeunesse de Tchaoudjo, la stabilité nationale est un bien commun qu’il faut protéger ensemble, quelles que soient nos opinions politiques ou nos origines.
« La cohésion sociale n’est pas un luxe, c’est la base de tout développement. Nous devons choisir la voie du respect mutuel, du vivre-ensemble et du progrès partagé. »